
Avant de devenir psychopraticien, j’ai mené pendant vingt ans une carrière de journaliste dans la presse professionnelle. J’ai notamment travaillé au magazine l’Usine Nouvelle, où j’ai dirigé une équipe de journalistes en tant que chef de service.
En 2006, suite à des événements personnels, j’ai entamé une thérapie. D’abord avec une art-thérapeute, puis avec un psychanalyste. Au milieu de ce parcours a germé l’idée d’accompagner à mon tour d’autres personnes à la rencontre d’eux-mêmes.
J’ai suivi pendant sept ans une formation au Centre interdisciplinaire de formation en psychothérapie relationnelle (Cifpr). Une école est située au carrefour de plusieurs approches (la psychanalyse, la gestalt thérapie, l’analyse bioénergétique et la pratique de groupe). Cette formation empêche d’être enfermé dans un cadre théorique trop rigide.
En parallèle, j’ai effectué de l’observation et de l’assistanat de deux ans et demi dans un groupe de thérapie. Je suis également thérapeute dans un groupe de thérapie mensuel à Paris, avec ma collègue Magali Cipriani. Je suis engagé dans un travail de supervision régulier. Je continue de me former régulièrement, notamment dans les techniques de prise en charge psycho-corporelle.
Je suis membre de la Société française de Psychanalyse Intégrative (SFPI), une association qui regroupe des praticiens partageant les mêmes convictions au plan théorique et clinique en matière de psychanalyse intégrative.
Je suis enfin membre adhérent du Syndicat national des praticiens en psychothérapie relationnelle et psychanalyse (SNPPsy), fondé en 1981, qui regroupe des praticiens d’écoles de pensées et de références théoriques diverses. Ce syndicat rassemble autour de la notion d’une psychothérapie relationnelle, qui met au centre de la pratique la relation entre le patient et le thérapeute.